Communiqué de presse

Le petit déjeuner-prière national réunit des dirigeants religieux et politiques

Elder Alain Allard, nouvellement nommé Soixante-dix d’interrégion de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, faisait partie des dirigeants religieux qui ont assisté au petit déjeuner-prière national et au dîner du leadership les 7 et 8 mai 2014.

Le petit déjeuner-prière national, qui avait lieu pour la 49e année, est offert sous l’égide des présidents du Sénat et de la Chambre des communes. Il est organisé par des membres du Parlement qui se réunissent de façon hebdomadaire, pendant la durée des sessions parlementaires, pour prier.

Elder Allard a salué cet événement qui rassemble des représentants de diverses confessions religieuses de partout au Canada pour leur permettre de rencontrer leurs élus.  « Il faut que nous assistions à de tels rassemblements », a-t-il déclaré,  « afin de collaborer avec d’autres croyants pour favoriser la compréhension et contribuer à l’amélioration de la vie de nombreux Canadiens ».

Le président Colin Mayes, député de la circonscription d’Okanagan-Shuswap, a remercié les dirigeants de leur présence et a expliqué que le but de l’événement était de confirmer aux Canadiens qu’il y a des élus et des sénateurs croyants qui les représentent dans la capitale nationale.

 Sandra Pallin, directrice nationale des Affaires publiques de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, a déclaré : « Je trouve très réconfortant d’entendre nos politiciens et nos sénateurs nous demander de prier pour eux. Je m’engage à prier plus sincèrement pour eux et le travail important qu’ils accomplissent. »

Des conférenciers inspirants se sont adressés à un auditoire de plus de 800 invités. Dans l’introduction de son allocution au dîner du leadership, l’honorable Don Plett, sénateur, a déclaré : « Quand nous sommes dépouillés de tout, la seule chose qu’il nous reste est la prière. Merci pour vos prières en faveur de notre pays et de nos dirigeants… En tant qu’élus, nous sommes réconfortés de savoir que vous priez pour nous. Sachez que nous prions aussi pour vous. »

Une délégation de la Knesset siégeant à Jérusalem a assisté au petit déjeuner-prière. Des passages des Écritures ont en outre été lus par des représentants des différents partis politiques du Canada. La ministre du Revenu national, Kerry-Lynne Findlay, a provoqué les rires de l’assistance lorsqu’elle a expliqué sa présence en disant que « Jésus avait aussi un percepteur d’impôts parmi ses effectifs ». Mme Findlay, de même que Joe Comartin du Nouveau Parti démocratique et vice-président de la Chambre, et l’honorable Justin Trudeau, chef du Parti libéral, ont partagé des passages des Écritures.

Rod Wilson, président du Regent College à Vancouver (où il enseigne aussi le counseling et la psychologie) et récipiendaire d’un doctorat honorifique en théologie de la Trinity Western University, était l’orateur principal au petit déjeuner-prière. Il a expliqué que nous vivons dans une culture de droits acquis et de victimisation. Il a suggéré trois phrases qui pourraient changer le monde : « Merci », « Je suis désolé » et « Parle-moi davantage », et qui s’adressent non seulement à notre prochain mais aussi à Dieu.

Le député Barry Devolin a fait part de son appréciation et a demandé instamment à tous de prier pour obtenir de la sagesse, de l’intégrité et de la compassion. « Il est bon de nous rappeler que l’humilité n’est pas un défaut », a-t-il ajouté.

Les besoins spirituels et temporels de la population requièrent de la bonne volonté et de la coopération entre les différentes confessions religieuses. Chacune d’entre elles a une contribution précieuse à apporter à la grande communauté des croyants. Pour reprendre les propos d’un ancien apôtre de l’Église, Orson F. Whitney, « Dieu utilise toutes sortes de gens pour mener à bien son œuvre grande et merveilleuse ». C’est pourquoi les membres de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours ne considèrent pas les croyants à travers le monde comme des adversaires ou des compétiteurs mais plutôt comme des partenaires unis pour de bonnes causes dans le monde.


Remarque concernant le nom de l’Église : Quand vous parlez de L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, veuillez utiliser le nom complet de l’Église la première fois que vous la mentionnez. Pour avoir plus de renseignements sur l’utilisation du nom de l’Église, consultez notre Guide de rédaction.